Le tampon encreur est défini comme tant un objet destiné au marquage de différents supports. En général, il est utilisé pour déposer un motif ou messager (nom et adresse d’une entreprise par exemple) sur des supports de type papier. Bien entendu, le papier n’est pas le seul support sur lequel il peut être utilisé, vous avez les tissus, les cartons et bien d’autres. C’est un élément indispensable en entreprise et au niveau des administrations, d’ailleurs souvent dans ces lieux qu’il est utilisé.
L’origine du tampon marcheur remonte à 400 ans avant J-C. On a retrouvé leur trace sur des poteries trouvées en Mésopotamie. Comme aujourd’hui il servait à authentifier la provenance d’un produit. Les faire exigeait de la part du poseur une grande précision. En 1685 apparut en France le tampon d’initiative locale, pour traiter le nombre croissant de courriers. Les tampons avec texte étaient gravés dans le bois, le liège et d’autres matériaux. Avec la découverte de Charles Goodyear sur le caoutchouc le tampon que vous connaissez aujourd’hui va commencer par prendre forme. En 1839 le tampon prit de l’extension au point de faire de l’ombre à l’utilisation du sceau.
Le rôle du tampon encreur n’a pas du tout changé depuis sa création, il sert toujours à authentifier. Il est composé d’un coussinet imbibé d’entre, appelé encreur, du timbre (motif) en caoutchouc ou autres polymères et d’un manche tenant le timbre. Plus utilisé de nos jours, le tampon encreur automatique, dans lequel le timbre est ancré automatiquement grâce à un encreur rechargeable. Il existe de très nombreux types de tampons. Pour bien choisir son tampon encreur, il faut au préalable définir ce que vous voulez faire avec. Vous avez des tampons traditionnels intégrant la signature d’une entreprise, d’une entité commerciale ou d’un particulier. Vous avez aussi des tampons du type dateur servant à dater les documents ou encore les numéroteurs pour apposer des numéros sur une suite de documents.